Si l’Amour vivait dans ma rue, Sa maison serait sûrement très grande afin de pouvoir accueillir beaucoup de monde. Les veuves et les orphelins s’y sentiraient vraiment chez eux. La maison ne serait pas en préfabriqué, mais probablement ancienne et restaurée, avec de grandes fenêtres pour laisser entrer la lumière. Une jolie barrière blanche l’entourerait pour que les enfants puissent jouer en toute sécurité. La porte ne serait jamais fermée à clé, et aucun aboiement de “chien méchant” ne tiendrait les visiteurs à distance…
Il nous est arrivé à tous de blesser un être cher par égoïsme ou orgueil. Désireux de revenir en arrière, nous avons essayé d'arranger les choses, mais le mal était fait. Une certaine distance s'est installée. L’amitié n'était plus la même… Seul le pardon aurait pu refermer la blessure et nous rapprocher.
Le pardon c'est comme...
Un fardeau qui t’est enlevé,
Une sentence annulée, une tache effacée,
Une nouvelle chance de vivre,
Un nouveau départ, une nouvelle naissance,
Un nouveau souffle de vie.
Une jeune pousse a jailli de l’arbre coupé
Nous prenons notre identité dans la vie des anciennes tribus d’Israël et dans la vibrante démonstration d’amour et d’unité décrite dans le livre des actes des apôtres. Cette vie d’une époque lointaine est à nouveau sur terre, comme une jeune pousse jaillissant de l’arbre coupé. Quelque chose d’ancien est en train de renaître.
Le “catharisme”, très médiatisé et souvent récupéré, est aujourd’hui un phénomène historique et religieux mondialement célèbre... mais paradoxalement encore relativement mal connu. Qui, en effet, en arpentant le “sentier cathare” pour visiter les “châteaux cathares” est vraiment conscient du drame humain, religieux, politique et social qui se déroula en plusieurs actes sur ces terres, il y a sept siècles de cela?
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